Chypre envisage de réprimer les entreprises non réglementées avec de lourdes amendes et des peines d'emprisonnement

Chypre envisage de réprimer les entreprises non réglementées avec de lourdes amendes et des peines d'emprisonnement

Nœud source: 2928896

Le régulateur du marché financier à Chypre envisage d'introduire une sanction pécuniaire sévère pouvant aller jusqu'à 350,000 XNUMX € et une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à cinq ans, ou les deux, pour les fournisseurs de services de cryptomonnaie qui ne se sont pas enregistrés auprès des autorités compétentes. Cyprus Mail signalé.

Bien qu'il n'y ait pas encore de confirmation officielle de la part du Securities and Exchange Commission Chypre (CySEC), elle prévoit d'imposer des sanctions sévères après la présentation d'un projet d'amendement législatif à la « loi sur la prévention et la répression du blanchiment d'argent », qui vise à aligner les règles chypriotes sur les normes mondiales fixées par le Groupe d'action financière (GAFI). ).

La proposition précise que les sociétés chypriotes traitant des actifs cryptographiques doivent s'inscrire auprès de la CySEC. L'objectif principal de cette règle est de minimiser le risque de blanchiment d'argent et de prévenir le financement du terrorisme.

Le défi paneuropéen

La CySEC a consulté l'Association du barreau de Chypre au sujet de ces projets. Les juristes de l'île ont souligné les défis liés à la portée de la loi, en particulier les obligations des fournisseurs de services de cryptographie déjà enregistrés dans d'autres États membres de l'UE de s'enregistrer à Chypre.

Chypre propose déjà des licences de cryptographie aux entreprises dans le cadre de ses règles existantes. Cependant, il faut modifier son cadre s'aligner sur le plan paneuropéen Réglementation des marchés de crypto-actifs (MiCA), qui entrera en vigueur l’année prochaine.

L'association des avocats chypriotes a en outre recommandé au régulateur d'introduire la « règle de voyage » dans la loi, qui n'en fait pas actuellement partie. Le ministère chypriote des Finances est déjà en discussion avec les autorités compétentes pour modifier les cadres afin d'ajouter ces lois.

Alors que la CySEC envisage toujours d'imposer des règles prévoyant des sanctions en cas de non-conformité, plusieurs de ses homologues européens ont déjà mis en place des lois similaires. Malte a le plus important, avec une amende pouvant aller jusqu'à 15 millions d'euros et une peine d'emprisonnement de trois ans pour tout non-respect des règles par les sociétés de cryptographie, y compris les opérations sans licence. La France et l'Irlande ont également des lois similaires prévoyant des sanctions variées.

Le régulateur du marché financier à Chypre envisage d'introduire une sanction pécuniaire sévère pouvant aller jusqu'à 350,000 XNUMX € et une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à cinq ans, ou les deux, pour les fournisseurs de services de cryptomonnaie qui ne se sont pas enregistrés auprès des autorités compétentes. Cyprus Mail signalé.

Bien qu'il n'y ait pas encore de confirmation officielle de la part du Securities and Exchange Commission Chypre (CySEC), elle prévoit d'imposer des sanctions sévères après la présentation d'un projet d'amendement législatif à la « loi sur la prévention et la répression du blanchiment d'argent », qui vise à aligner les règles chypriotes sur les normes mondiales fixées par le Groupe d'action financière (GAFI). ).

La proposition précise que les sociétés chypriotes traitant des actifs cryptographiques doivent s'inscrire auprès de la CySEC. L'objectif principal de cette règle est de minimiser le risque de blanchiment d'argent et de prévenir le financement du terrorisme.

Le défi paneuropéen

La CySEC a consulté l'Association du barreau de Chypre au sujet de ces projets. Les juristes de l'île ont souligné les défis liés à la portée de la loi, en particulier les obligations des fournisseurs de services de cryptographie déjà enregistrés dans d'autres États membres de l'UE de s'enregistrer à Chypre.

Chypre propose déjà des licences de cryptographie aux entreprises dans le cadre de ses règles existantes. Cependant, il faut modifier son cadre s'aligner sur le plan paneuropéen Réglementation des marchés de crypto-actifs (MiCA), qui entrera en vigueur l’année prochaine.

L'association des avocats chypriotes a en outre recommandé au régulateur d'introduire la « règle de voyage » dans la loi, qui n'en fait pas actuellement partie. Le ministère chypriote des Finances est déjà en discussion avec les autorités compétentes pour modifier les cadres afin d'ajouter ces lois.

Alors que la CySEC envisage toujours d'imposer des règles prévoyant des sanctions en cas de non-conformité, plusieurs de ses homologues européens ont déjà mis en place des lois similaires. Malte a le plus important, avec une amende pouvant aller jusqu'à 15 millions d'euros et une peine d'emprisonnement de trois ans pour tout non-respect des règles par les sociétés de cryptographie, y compris les opérations sans licence. La France et l'Irlande ont également des lois similaires prévoyant des sanctions variées.

Horodatage:

Plus de Finances Magnates